Jérôme Charrier, né le 12 mai 1958 à Viviers, bourgade de la vallée du Rhône, située au sud du département de l’Ardèche…

Pour des raisons familiales, il se trouvait dès l’âge de cinq ans au pensionnat, dans un collège privé animé par les frères maristes. S’ensuivit le petit séminaire, et quand l’adolescence survint ; il se rebiffât et délaissât les études au profit de l’apprentissage du métier de son grand père maternel, la menuiserie.

Puis, ayant confirmé les connaissances de son métier, il parcourut la France en se perfectionnant des diverses techniques des métiers du bois.

Pourtant, les traces de son passé singulier allaient révéler sa véritable nature. Ainsi, par un concours de circonstances révélatrices, il s’intéressât aux œuvres de talents aussi variés que talentueux. Cet homme écoute avec autant de sensibilité le jeu de guitare émotionnel des compositions de Django Reinhardt, les interprétations des pianistes virtuoses proposant à nos sens la pathétique expression de Frédéric Chopin, pareillement les écrits de Boris Vian et tout particulièrement la verve succulente de Georges Brassens, des poètes avérés tels Victor Hugo, Sainte-Beuve, Pierre Reverdi…

Charrier s’adonnât assez tôt à l’écriture et à la musique…

Puis, vint ce matin de juin 2002. Son fils l’encourageant à envisager l’édition de ses différents écrits.