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Gérard
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| MORIN est issu de la section
environnement de l'école des Beaux Arts de Nantes (FRANCE).
C'est sans doute pour cela que son propos de prédilection est
la "plastique urbaine", illustré notamment par l'exposition
de peintures : "Nantes-Venise : Images reflétées".
Voyage onirique au temps où la Loire et l'Erdre baignaient
le coeur de Nantes, marquant de leurs empreintes le tissu urbain et
l'architecture. |
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La ville
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| se met à rêver sur sa lointaine cousine et les images
se superposent, se joignent, se recoupent. Quand la structure de la
ville qui faisait sa cohérence urbanistique a disparu, le rêve
et l'imaginaire sont les meilleurs échapatoires face à
son passé révolu. La dérive dans la ville de
Nantes est un rendez vous avec les fantômes du passé,
une visite à l'âme de l'ex. Venise de l'Ouest et à
Nantes du troisième millénaire. |
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| Les différentes séries issues du travail personnel
(Images reflétées, Mâts et mascarons, Chantiers
Dubigeon, Passages, Mosaïques...) cherchent à marquer
la potentialité d'imaginaire des espaces. Ce qui, en dehors
de tout caractère historico-esthétique, marque l'âme
d'une ville, |
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sa
mémoire. |
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| Il s'agit d'explorer graphiquement un espace, des lieux qui ne sont
pas obligatoirement mis en évidence et de trouver des moyens
d'expression graphique propres aux espaces représentéees. |
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La représentation
graphique
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si elle est figurative, n'est pas exactitude mais
cherche à transgresser la vision ordinaire
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Gérard
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| Morin réalise également illustrations, peintures murales
et productions multimédias. |
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