Karine
LEVESIER, auteur d’un premier roman, Rupture inachevée, édité par La
Société des Ecrivains met en valeur l’écriture thérapeutique ou la littérature
de résilience.
Aussi,
laisse-t-elle son adresse email sur le site
afin d’ouvrir le dialogue avec ses lecteurs. Vos impressions de lecture
l’intéressent.
« Depuis toujours je jongle avec les mots... Mais
l'acte d'écrire ne se concrétise-t-il pas dans les moments de déréliction?
En effet, c’est sans doute Boris Cyrulnik auquel je fais référence dans mon
ouvrage, qui a contribué à m’amener vers l’activité concrète de l’écriture.
Mon premier roman, qui s'intitule, Rupture inachevée vient
de paraître. Les quelques premières impressions que je peux recueillir me
laissent à penser que ce livre peut donner l’envie d’écrire; il s’agit d’un
livre triste certes, mais gorgé d’optimisme. Aussi, nombreux sont ceux qui
peuvent se retrouver dans la gestion de leur chagrin. »